L'emballage de la clef est des plus classique, un entourage carton qui englobe une bulle plastique, servant d'écrin à ladite clef. L'ouverture est assez aisée, mais nécessitera de déchirer le carton pour y accéder, donc inutile d'espérer réutiliser l'emballage ultérieurement. Les indications portées sur la face avant sont tout aussi sommaires : on voit la marque, la capacité, les vitesses et l'interface, rien de transcendant. La face arrière n'apportera que des informations sur quelques systèmes d'exploitation supportés et les éternelles informations sur les garanties produit. D'un autre côté, une clef USB ne nécessite pas un écrin en velours surmonté de dorures.


Après la terrible épreuve de déballage, on découvre la Fury en elle-même. On remarque tout de suite les codes couleurs déjà présents sur la DataTraveler, et une taille assez réduite. Cela reste tout de même une clé plastique, mais malgré cela, on ne sent pas de fragilité trop importante. A noter que dans le carton, se trouve un petit autocollant avec le logo HyperX, que l'on pourra placer sur l'arrière de la clef ou sur tout autre support de son choix. Le capuchon de protection du connecteur USB  – de couleur bleue qui correspond à la norme USB 3 –  joue son rôle sans aucune prétention, bien qu'il soit lui aussi en plastique. Avec son poids ultra-léger, moins de 9 grammes, cette clé n'alourdira pas votre poche. Le design est plus affirmé que sa consœur Datatraveler, plus fine, mais sans trop de fioritures. C'est une clef passe partout agréable, visuellement parlant.


Connectons maintenant la clef sur notre PC de test pour la jauger plus avant.