Il est maintenant l'heure de conclure sur cette première souris haut de gamme du constructeur. Et le bilan est positif !
Sa construction semble solide, et elle pourra résister aux outrages du temps et des parties un peu tendues. La glisse est quasi parfaite, ni trop ni trop peu. Le poids mesuré parait être bon compromis, certains trouveront que Aorus aurait pu prévoir un système de poids, tels qu'on le trouve sur certains modèles de la concurrence. Les revêtements sont bien choisis, et même si le petit système de ventilation de la paume peut prêter à sourire, on ne peut que saluer l'idée.
En jeu, le capteur a montré tout son potentiel, notamment dans le multi de Battlefield 4, dans le solo de Metro 2033 ou dans le MMOTPS FireFall . Avec un tapis adéquat — en l’occurrence pour notre test le tapis Thunder M3 de la marque — il sera difficile de prendre en défaut cette M7. Pour les personnes qui jouent en soulevant régulièrement leur mulot, nous avons relevé une distance de décrochage en vertical de 3 mm maximum. Les multiples boutons sur la tranche se révèlent à l'usage vraiment très bien placés, et assez bien discernables, mais il faut quand même un peu de temps pour se les approprier. Aucun ne nécessite de gymnastique des doigts, le constructeur a donc bien travaillé, sauf pour les 2 boutons estampillés « + » et « - », vraiment difficiles d'accès en jeu. Mais une petite reprogrammation des boutons de manière plus judicieuse et le tour est joué. Les crans de la molette pourront paraitre un peu faibles à quelques-uns, sans que cela ne soit rédhibitoire pour autant : on ne rate aucun changement d'armes dans son FPS préféré.
Coté logiciel, la version 1.0 du Aorus Macro Engine nous a paru bien finie : aucun bug ne s'est présenté durant ce test. On pourra juste regretter le manque de traduction en français et la limite de couleurs sur les profils, mais ce n'enlève rien ni à la qualité ni à la complétude du pilote. C'est important à souligner, car un bon pilote est essentiel pour tirer complètement parti de son investissement.
Sa construction semble solide, et elle pourra résister aux outrages du temps et des parties un peu tendues. La glisse est quasi parfaite, ni trop ni trop peu. Le poids mesuré parait être bon compromis, certains trouveront que Aorus aurait pu prévoir un système de poids, tels qu'on le trouve sur certains modèles de la concurrence. Les revêtements sont bien choisis, et même si le petit système de ventilation de la paume peut prêter à sourire, on ne peut que saluer l'idée.
En jeu, le capteur a montré tout son potentiel, notamment dans le multi de Battlefield 4, dans le solo de Metro 2033 ou dans le MMOTPS FireFall . Avec un tapis adéquat — en l’occurrence pour notre test le tapis Thunder M3 de la marque — il sera difficile de prendre en défaut cette M7. Pour les personnes qui jouent en soulevant régulièrement leur mulot, nous avons relevé une distance de décrochage en vertical de 3 mm maximum. Les multiples boutons sur la tranche se révèlent à l'usage vraiment très bien placés, et assez bien discernables, mais il faut quand même un peu de temps pour se les approprier. Aucun ne nécessite de gymnastique des doigts, le constructeur a donc bien travaillé, sauf pour les 2 boutons estampillés « + » et « - », vraiment difficiles d'accès en jeu. Mais une petite reprogrammation des boutons de manière plus judicieuse et le tour est joué. Les crans de la molette pourront paraitre un peu faibles à quelques-uns, sans que cela ne soit rédhibitoire pour autant : on ne rate aucun changement d'armes dans son FPS préféré.
Coté logiciel, la version 1.0 du Aorus Macro Engine nous a paru bien finie : aucun bug ne s'est présenté durant ce test. On pourra juste regretter le manque de traduction en français et la limite de couleurs sur les profils, mais ce n'enlève rien ni à la qualité ni à la complétude du pilote. C'est important à souligner, car un bon pilote est essentiel pour tirer complètement parti de son investissement.
ZedenTV : https://www.youtube.com/channel/UCyNdxVHYbmbInnl8UAjIDdQ