Conclusion
Pour sa toute première fois, Blackpowder Games signe ici un titre assez décevant. Et le studio de développement ne pourra pas dire que si on l'avait conseillé, il aurait commis moins d'erreurs ; le jeu étant quand même passé en accès anticipé pendant plus de six mois. Et ce n'est pas en ajoutant une option pour pouvoir mettre de la couleur qu'il est devenu joli. Si l'on m'avait mieux expliqué, tout serait si différent. J'aurais pu pardonner Blackpowder Games et j'aurais été moins seul en jeu. Car j'ai trop couru dans le noir des grandes forêts et je me suis souvent perdu. Le studio a raté son premier rôle, mais on espère qu'il jouera mieux le deuxième. En attendant, je veux que ce test s'achève. Car s'être inspiré de Jeanne Mas pour faire un jeu vidéo, c'est pas la meilleure des idées. À moins que je n'ai pas tout compris ? Blague à part, Betrayer est donc un jeu qui divise. Les joueurs sensibles à l'ambiance et à l'histoire (ainsi que les fanboys de Monolith, bien entendu) peuvent trouver le jeu très bon. D'autres trouveront que le jeu est plutôt mauvais car ses combats sont trop punitifs et que le joueur n'est pas assez pris par la main. Quant à moi, j'essaie ici d'être objectif et face à tant de répétitivité et des graphismes passables, même si l'ambiance graphique et sonore est bonne, le jeu est au final moyen.