Étant donné que le Pallas cible les configurations de type HTPC, c'est un système de ce type qui va être utilisé pour le test. On utilise ainsi boitier Silverstone Lascala 16B, au format destkop mais destiné à être placé dans un salon, avec son look d'ampli. Il dispose d'une télécommande intégrée et d'un afficheur 2x20 caractères Soundgraph iMon.
Le reste des composants est le suivant :
Le montage d'un ventirad est toujours une étape importante dans l'assemblage d'un PC, vu que c'est cet élément qui assure le refroidissement du processeur. On est donc attentif à la procédure de mise en place. Dans notre cas, nous allons utiliser la quincaillerie pour socket Intel 1156, étant donné que notre configuration embarque un Core i5 750 de la première génération. On va être obligé de sortir la carte mère du boitier pour le montage, en effet, le format desktop du HTPC ne permet pas comme sur les boitiers destinés aux gamers d’accéder directement au dos de la carte mère.
Elle commence par la mise en place de la backplate. Cette plaque arrière est commune à AMD et à Intel, ce qui est assez rare. La pièce — en plastique — est très travaillée, et elle est en fait double face. Il y a un côté AMD, et un côté Intel, qui ne sont pas spécialement repérés : il faut donc se fier au manuel pour savoir quelle face correspond à quelle marque. Grâce à des oblongs, la plaque est capable de s’accommoder de tous les sockets de chaque constructeur. Dans notre cas, elle s'adapte parfaitement. Pour la retenir, 4 vis traversent la carte mère, et on met en place 4 entretoises plastiques de l'autre côté, qui se vissent facilement à la main et qui bloquent la blackplate, pour faciliter le reste de la procédure d'installation.
Ces 4 vis servent de support à des barres de fixation, Intel, dans notre cas. Celles-ci sont argentées, et sont donc assorties au radiateur. Le constructeur se soucie donc aussi du design de son ventirad, ce qui est une bonne chose, vu le public visé. On les fixe via 4 vis, dotées d'une tête très large, pour lesquelles on utilise un tournevis cruciforme classique.
Ensuite, vient l’application de la pâte thermique. Celle-ci est livrée dans un tout petit sachet plastique, qu'on peut voir sur la photo suivante. Ça fait très cheap et n'inspire pas vraiment confiance, ni sur les performances, ni sur la facilité d'application. On coupe donc le sachet à l'endroit prévu pour faire sortir la pâte. Il faut de plus bien l'étaler d'après le manuel, mais vu qu'il n'y a pas de spatule livrée, on doit utiliser le sachet en lui-même ! Ce point ne nous a pas convaincu, espérons que cela n'ait pas d'impact sur les performances de refroidissement de la solution. On avait déjà vu ce principe de pâte livrée en sachet sur d'autres ventirads dans cette gamme de prix, notamment l'autre Raijintek précédemment testé, et c'est tout sauf pratique. Et bien évidemment, il n'y a de la pâte que pour une seule application.
On pose alors le radiateur muni de sa tige de rétention sur les barres de socle. Il suffit d'aligner les trous, et d'utiliser les 2 vis fournies. Il n'y a rien d'indiqué concernant le serrage de ces vis dans la notice, et c'est dommage. On a donc un peu peur soit de faire cramer le CPU parce que le contact n'est pas suffisant, soit d'enfoncer le packaging du CPU en serrant trop fort, mais au final, ça se fait bien.
Cela étant dit, il nous reste 2 choses à faire. La première est de fixer le ventilateur au radiateur pour en faire un ventirad. Cette opération est très simple et ne prend que quelques secondes. Elle consiste à utiliser des agrafes métalliques, ce qui est un système assez courant, mais toujours difficile à mettre en place... D'ailleurs, sur ses derniers modèles, Noctua livre les ventilateurs déjà fixés sur le radiateur. On se souvient que l'Ereboss utilisaient quant à lui des silent blocks en caoutchouc, mais le constructeur a du juger qu'ils n'étaient pas adaptés pour ce cas.
La dernière opération est de brancher le connecteur 4 broches du ventilateur à la carte mère, afin de profiter du PWM et d'avoir une vitesse de rotation adaptée au dégagement thermique du processeur. Le montage est terminé, cela s'est plutôt bien passé. Le remontage de la carte mère dans le boitier HTPC n'est pas gêné par ce ventirad aux dimensions généreuses, tout juste a-t-il fallu démonter temporairement les ventilos arrière de 80 mm. Il est temps de voir si ce Pallas est performant.
Le reste des composants est le suivant :
- Carte mère Gigabye P55A-UD3R
- CPU Intel core i5 750
RAM Crucial 16 Go Sport VLP
- SSD Crucial V4
- Alim Seasonic 660W Platinum
- Carte graphique Matrox G450 32 Mo PCI
Le montage d'un ventirad est toujours une étape importante dans l'assemblage d'un PC, vu que c'est cet élément qui assure le refroidissement du processeur. On est donc attentif à la procédure de mise en place. Dans notre cas, nous allons utiliser la quincaillerie pour socket Intel 1156, étant donné que notre configuration embarque un Core i5 750 de la première génération. On va être obligé de sortir la carte mère du boitier pour le montage, en effet, le format desktop du HTPC ne permet pas comme sur les boitiers destinés aux gamers d’accéder directement au dos de la carte mère.
Elle commence par la mise en place de la backplate. Cette plaque arrière est commune à AMD et à Intel, ce qui est assez rare. La pièce — en plastique — est très travaillée, et elle est en fait double face. Il y a un côté AMD, et un côté Intel, qui ne sont pas spécialement repérés : il faut donc se fier au manuel pour savoir quelle face correspond à quelle marque. Grâce à des oblongs, la plaque est capable de s’accommoder de tous les sockets de chaque constructeur. Dans notre cas, elle s'adapte parfaitement. Pour la retenir, 4 vis traversent la carte mère, et on met en place 4 entretoises plastiques de l'autre côté, qui se vissent facilement à la main et qui bloquent la blackplate, pour faciliter le reste de la procédure d'installation.
Ces 4 vis servent de support à des barres de fixation, Intel, dans notre cas. Celles-ci sont argentées, et sont donc assorties au radiateur. Le constructeur se soucie donc aussi du design de son ventirad, ce qui est une bonne chose, vu le public visé. On les fixe via 4 vis, dotées d'une tête très large, pour lesquelles on utilise un tournevis cruciforme classique.
Ensuite, vient l’application de la pâte thermique. Celle-ci est livrée dans un tout petit sachet plastique, qu'on peut voir sur la photo suivante. Ça fait très cheap et n'inspire pas vraiment confiance, ni sur les performances, ni sur la facilité d'application. On coupe donc le sachet à l'endroit prévu pour faire sortir la pâte. Il faut de plus bien l'étaler d'après le manuel, mais vu qu'il n'y a pas de spatule livrée, on doit utiliser le sachet en lui-même ! Ce point ne nous a pas convaincu, espérons que cela n'ait pas d'impact sur les performances de refroidissement de la solution. On avait déjà vu ce principe de pâte livrée en sachet sur d'autres ventirads dans cette gamme de prix, notamment l'autre Raijintek précédemment testé, et c'est tout sauf pratique. Et bien évidemment, il n'y a de la pâte que pour une seule application.
On pose alors le radiateur muni de sa tige de rétention sur les barres de socle. Il suffit d'aligner les trous, et d'utiliser les 2 vis fournies. Il n'y a rien d'indiqué concernant le serrage de ces vis dans la notice, et c'est dommage. On a donc un peu peur soit de faire cramer le CPU parce que le contact n'est pas suffisant, soit d'enfoncer le packaging du CPU en serrant trop fort, mais au final, ça se fait bien.
Cela étant dit, il nous reste 2 choses à faire. La première est de fixer le ventilateur au radiateur pour en faire un ventirad. Cette opération est très simple et ne prend que quelques secondes. Elle consiste à utiliser des agrafes métalliques, ce qui est un système assez courant, mais toujours difficile à mettre en place... D'ailleurs, sur ses derniers modèles, Noctua livre les ventilateurs déjà fixés sur le radiateur. On se souvient que l'Ereboss utilisaient quant à lui des silent blocks en caoutchouc, mais le constructeur a du juger qu'ils n'étaient pas adaptés pour ce cas.
La dernière opération est de brancher le connecteur 4 broches du ventilateur à la carte mère, afin de profiter du PWM et d'avoir une vitesse de rotation adaptée au dégagement thermique du processeur. Le montage est terminé, cela s'est plutôt bien passé. Le remontage de la carte mère dans le boitier HTPC n'est pas gêné par ce ventirad aux dimensions généreuses, tout juste a-t-il fallu démonter temporairement les ventilos arrière de 80 mm. Il est temps de voir si ce Pallas est performant.