À l'usage
Après plusieurs jours passés en compagnie de ce casque, il est l'heure de faire le bilan. Les matériaux utilisés sont de bonne qualité, l'assemblage est de bonne facture, si on appuie sur les jointures il n'y a pas de couinement de plastiques mal ajustés. Une fois sur la tête, on découvre que les 350 g relevés sur la balance sont bien répartis, et l'Onda Pro ne fatigue pas à l'usage. C'est l'assurance de pouvoir jouer de longues heures durant sans avoir les oreilles douloureuses.Coté son, le casque est bien insonorisé. Grâce à ce point, le joueur n'est pas perturbé par les petits bruits extérieurs et si une personne l'appelle, elle devra hausser le ton, même si le niveau d'écoute n'est pas très fort. Sur les caractéristiques audio, le rendu des basses nous a tout simplement bluffé, on sent que sa « résonne » et on pourrait, lors de phase d'écoute musicale, se croire en discothèque. Le rendu des aiguës largement suffisant, mais comme tous les casques gamers, se sont les basses qui sont le plus visées. Les résultats obtenus sont dus au X-Surround du casque. Le fabricant définit ce paramètre comme une technologie de pointe qui a pour but d'améliorer la clarté et les détails de l'audio, (en musique, jeu ou film) en recréant les subtilités originales sons, rendant l'expérience plus dynamique et brillante.
Enfin, notons que le câble du Onda Pro est en nylon tressé, ressemblant aux tissus thermorésistant qu'on trouve notamment sur les câbles d'alimentation des fers à repasser. Cela change du plastique traditionnel, et cela a une incidence sur la longévité des câbles. C'est en tout cas un signe manifeste de soin apporté au produit, d'autant que la longueur des câbles est largement suffisante et même à bonne distance de notre écran, nous n'avons pas manqué de fil.