L'emballage de la Silverstone est compact, mais il met bien en avant les atouts de cette alimentation. A l'avant on a une belle photo, et à l'arrière, on les caractéristiques techniques, avec de beaux graphiques. Il est intéressant de noter que cette alimentation n'est pas certifiée 80+ Bronze, et pourtant, elle pourrait presque l'être. Avec une pointe à 85% de rendement à 50 % de charge et 81% à 20 et 100%, elle correspond exactement aux critères de la norme, si on en croit le packaging. Alors, pourquoi ne pas l'indiquer ? Tout simplement parce que faire certifier un bloc n'est pas gratuit pour le constructeur, et que cela lui fait ainsi des frais en moins à répercuter sur le prix de vente. Quand on cherche à faire du low-cost, c'est un poste de dépense qu'on peut supprimer sans trop de problème, et cela n'enlève rien à la qualité du bloc, capable de tenir tout de même la norme.
Passons au déballage. A l’intérieur du packaging, on découvre enfin la bête, bien protégée dans un emballage en bulles plastiques, ce qui est plus pertinent (et sécurisant), à mon sens, que les enveloppes tissus qu'on a souvent rencontré dans de précédents tests d'alimentations et dont on se demandait le rôle exact.
L'alim est toute grise, style bloc noname, mais pour les gamers, une version noire est également disponible. Sur le dessus, on découvre le petit ventilateur de 120 mm, et à l'arrière un bouton ON/OFF est heureusement présent. L'étiquette sur le côté nous précise que les 500 W sont obtenus en cumulant toutes les tensions, et qu'il y a 400 W de disponible sur la ligne des 12 V. C'est largement de quoi faire pour alimenter une grosse carte graphique, mais pas assez pour un SLI/Crossfire. Ça tombe bien, ce n'est pas possible avec ce bloc car il n'y a pas 4 connecteurs PCI-E. Le constructeur a donc bien calibré son alimentation qui se positionne dans le créneau « basique, mais suffisante ».
Si on regarde le bundle fourni avec cette alim, celui-ci est minimaliste et est composé des éléments suivants :
Il est maintenant temps de monter cette Strider dans la config de test.
Passons au déballage. A l’intérieur du packaging, on découvre enfin la bête, bien protégée dans un emballage en bulles plastiques, ce qui est plus pertinent (et sécurisant), à mon sens, que les enveloppes tissus qu'on a souvent rencontré dans de précédents tests d'alimentations et dont on se demandait le rôle exact.
L'alim est toute grise, style bloc noname, mais pour les gamers, une version noire est également disponible. Sur le dessus, on découvre le petit ventilateur de 120 mm, et à l'arrière un bouton ON/OFF est heureusement présent. L'étiquette sur le côté nous précise que les 500 W sont obtenus en cumulant toutes les tensions, et qu'il y a 400 W de disponible sur la ligne des 12 V. C'est largement de quoi faire pour alimenter une grosse carte graphique, mais pas assez pour un SLI/Crossfire. Ça tombe bien, ce n'est pas possible avec ce bloc car il n'y a pas 4 connecteurs PCI-E. Le constructeur a donc bien calibré son alimentation qui se positionne dans le créneau « basique, mais suffisante ».
Si on regarde le bundle fourni avec cette alim, celui-ci est minimaliste et est composé des éléments suivants :
- 4 Vis de fixation noires ;
- Le câble d'alimentation;
- Fascicule d'installation et de garantie.
Il est maintenant temps de monter cette Strider dans la config de test.