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L'HyperX est là
Kingston est un grand nom des barrettes de RAM, des clés USB et bien entendu des SSD. Doté d'un large panel de produits dans ces 3 gammes, le constructeur propose bien évidemment des produits à destination des joueurs, sous la dénomination Hyper X. Après avoir testé l'Hyper X DataTraveler, une clé USB3 de 64 Go aux performances époustouflantes, ainsi qu'un kit de RAM HyperX Predator 2133 Mhz 16 Go, aujourd'hui on s’intéresse au Hyper X 3K, un SSD de 240 Go architecturé autour d'un SandForce. Mérite-t-il sa place dans votre tour ? Réponse dans notre article !



Déballage

Vu la faible taille et la légèreté du SSD, il n'y a pas de surprise à recevoir une toute petite boite estampillée Kingston. L'avant montre une photo du 3K, accompagné des valeurs de lecture et d'écriture qu'on est en droit d'attendre. Kingston précise même avec quel benchmark ces chiffres sont atteints, ce qui une initiative qu'on ne peut que saluer. Le constructeur sait parler à son public !


Le packaging recto / verso

Le dos de l'emballage est quant à lui sans grand intérêt côté informations techniques, il vaudra mieux consulter le site internet pour en savoir plus. Cependant, on peut y voir le bundle en image.
Le bundle
Et quand on ouvre la boite, on voit que cette photo est conforme au contenu. On a ainsi :
  • Le SSD proprement dit
  • Le manuel d'installation du SSD
  • Un adaptateur 3,5" -> 2,5"
On peut maintenant regarder le Hyper X 3K d'un peu plus près :


Le 3K : dessus et dessous

Si le dessus du SSD — du plus effet avec son aluminium brossé — ne nous apprend rien, le dos est plus intéressant. En effet, l'étiquette présente 2 informations importantes :
  • Le modèle et la capacité du SSD, qui confirme bien ce qu'il y a sur l'emballage
  • La tension et l'intensité de fonctionnement : 1 A sous 5 V, ce qui représente une consommation de 5W. C'est une très faible consommation, même pour un SSD.
Le reste des numéros ne semblent pas être parlant pour le commun des mortels.

Si on parle un peu technique, le Kingston embarque des puces de flash signées IMFT, la joint-venture Micron-Intel, comme pour le M500 testé de Crucial testé précédemment. Les cellules contenues dans ces puces sont de type MLC (Multi Layer Cell) et sont données par le constructeur pour 3000 — 3K, d’où le nom du SSD — cycles de fonctionnement, composé d'une écriture et d'un effacement. Ça peut paraitre peu, en réalité, la durée de vie est vraiment importante : le constructeur annonce 192 To écrits comme limite avant l'apparition d'un premier défaut. On parle donc de 192 000 Go transférés — ou 196608 Gio pour les fans de la base 2. Si on se sert de ce SSD comme disque système, où on considère qu'écrire 10 Go par jour est déjà pas mal, on arrive à une durée de vie de 19 200 jours, soit 50 ans !

Mais ces puces seules ne servent à rien : elles sont pilotées par un contrôleur LSI SandForce SF-2281, qu'on retrouve dans un grand nombre de modèle de SSD. Il gère nativement le SATA 6 Gb, jusqu'à 512 Go de capacité et c'est lui embarque les technologies de « wear-levelling » — dénommées DuraClass — qui permettent de faire tenir les puces de flash pendant des dizaines d'années en utilisant divers procédés d'optimisations d'écriture.

Il est temps de passer maintenant à la mise en place dans notre configuration de test. À noter qu'il s'agit d'un modèle d'une épaisseur de 9,5 mm alors que les 7 mm sont de plus en plus répandus, pour pouvoir s'installer dans les ultras portables notamment.

Configuration de test

La configuration de test est désormais up to date :
Le boitier dispose d'emplacements SSD à l'arrière de la carte mère, et c'est donc là qu'on va installer le Kingston.

Installation

La mise en place d'un tel produit à l’intérieur de la tour est simple, à la condition d'avoir un emplacement 2,5" disponible, ce qui n'est le cas que dans les boitiers relativement récents. Notre boitier haut de gamme NZXT Phantom 630 dispose bien entendu de tels emplacements. Pour des tours moins bien pourvues, le kit de montage pour emplacement 3,5" livré dans le bundle permettra d'y remédier facilement. Certains constructeurs n'ont pas inclus ce genre d'adaptateur dans leur bundle, comme Crucial par exemple, et c'est bien dommage de devoir investir encore, ou bien de laisser trainer au fond de la tour un tel produit. Kingston a donc tout bon à ce niveau.


Montage du SSD dans le NZXT

Électriquement, rien ne distingue un SSD d'un disque dur SATA. Il faudra donc brancher un câble d'alimentation SATA ainsi qu'un câble SATA, de préférence à un port SATA 3, ce dont est équipée notre carte mère de test. Il serait dommage de brider les performances du Kingston en le connectant à un goulot d'étranglement, mais nous y reviendrons par la suite lors des tests pour voir si tous les contrôleurs SATA 3 se valent. En effet, notre CM de test embarque du SATA 3 offert nativement par intel, et du SATA 3 géré par une puce additionnelle, rebrandée Gigabyte.

Passons maintenant à la partie la plus importante, les tests !

Protocole de tests


Performances théoriques

Un outil de benchmark spécialisé SSD
Nous allons nous intéresser dans un premier temps aux chiffres basiques d'un SSD, à savoir ses performances en lecture et écriture. Pour ce faire, le logiciel AS SSD Benchmark est tout indiqué : il réalise les mesures rapidement, en lecture et en écriture en une seule fois et est, comme son nom le suggère, spécifiquement destiné aux benchmarks de SSD. Le Hyper X 3K sera branché sur un port SATA 3, en mode AHCI, driver Microsoft sur la carte mère de test.

Indice de performance Windows

5,9 en indice DD = 5,9 indice PC...
On va ensuite regarder l'indice de performance Windows, qui est une valeur comprise entre 1,0 et 7,9. Il est composé en fait de plusieurs sous indices, dont un spécifiquement calculé sur les performances du « disque dur principal ». En général, sur tous les PC équipés de disques durs classiques, il est entre 5 et 6, alors que la valeur maximale possible est 7,9. Hors, Windows aligne l'indice global de performance sur valeur du sous-indice le plus faible. Comme bien souvent, c'est le disque dur qui est l’élément le plus lent, l'indicateur de performance du PC est en fait celui du disque dur. Ce SSD va-t-il permettre d'améliorer significativement les choses ?

Temps de chargement de jeu

S.T.A.L.K.E.R. : Call of Pripyat
On va également étudier le temps de chargement de niveaux, afin de voir le rôle d'un SSD dans cette situation, S.T.A.L.K.E.R. : Call of Pripyat, avec un chronomètre. Cela induit forcément un biais dans la mesure, car le début et la fin de celle-ci sont définies par l'appui d'un humain sur le bouton, mais il n'y a pas vraiment de moyen de faire autrement, et il existe très peu de benchmarks pratiques se concentrant sur cet aspect des performances. On fera les mesures plusieurs fois, en quittant le jeu à chaque fois, et on présente la moyenne.

Performance globale du PC - PC mark 7

PC mark 7
La société FutureMark ne développe pas que 3Dmark, le benchmark de carte graphique ultra reconnu, il édite aussi PC Mark, un benchmark destiné à mesurer les performances d'un PC, suivant plusieurs axes. Nous allons nous intéresser, outre le score global, à la performance en mode « Entertainement », qui comprend le gaming, et le score du sous-système disque. 3 chiffres seront donc présentés, et comme ils sont représentatifs des performances réelles, on pourra voir si on retrouve les différences mesurées par les benchmarks synthétiques.

Résultats

Tests théoriques


ConfigurationLect. séq. (Mo/) Lect. 4K (Mo/) Lect. 4K 64 threads (Mo/)temps d'accès Lect (ms)Ecr. séq. (Mo/) Ecr. 4K (Mo/) Ecr. 4K 64 threads (Mo/)temps d'accès Ecr (ms) Score global
Crucial V4 / Gigabyte Z68 / SATA 2 200,7313,4755,510,1572,5520,5821,15 0,355 183
Corsair Force GS / Gigabyte Z68 /SATA 3 419,27 17,52 202,59 0,173 170,61 44,3 162,25 0,283 613
Crucial M500 / Gigabyte Z68 / SATA 3 Gigabyte336,1319,14127,290,13221,5740,43114,3 0,095 451
Crucial M500 / Gigabyte Z68 /SATA 3 intel 487,99 20,97 236,76 0,121 394,91 48,94 202,16 0,074 756
Kingston HyperX 3K / Gigabyte Z68 /SATA 3 intel 348,7919,31 169,96 0,208 219,47 40,67 146,35 0,217 548

Dans ce tableau, on a repris les performances de plusieurs autres SSD testés sur cette configuration, comme le Crucial V4 et le Corsair Force GS. Le V4 est le pire SSD jamais passé entre nos mains — Crucial a depuis arrêté ce modèle, heureusement — tandis que le Force GS de Corsair était le meilleur performer reçu avant l'arrivée du Crucial M500. En effet, le M500 avait pulvérisé le précédent record obtenu sur notre plateforme de test, avec un score global AS SSD de 756 points, lorsque le contrôleur Intel est utilisé. Si on utilise l'autre contrôleur, le score est inférieur de 300 points ! Comme quoi, choisir un bon SSD et le brancher au mauvais connecteur de la carte mère peut ruiner l'investissement. Au niveau du 3K qui nous intéresse aujourd’hui, la situation est moyenne. Avec un score de 548, ce SSD reste en retrait des meilleurs SSD, sans pour autant sombrer dans la médiocrité pour autant. Niveau performances, c'est donc plutôt la moyenne haute qui est atteinte ici.

Tests pratiques : indicateur de performances Windows

Au max !
Il suffit de lancer l'indicateur de performances pour que le résultat parle de lui-même, comme on peut le voir sur la capture ci-contre. On passe de 5,9 pour un disque dur mécanique à 7,9 pour ce SSD, quand il est branché sur le contrôleur intel. C'est donc un très net gain, et c'est la note maximale qu'on peut atteindre sous windows 7. A noter que sous Windows 8, la note maximale est portée à 9,9, ce qui permettrait de mieux départager les SSD haut de gamme, mais l'OS ne nous a pas suffisamment convaincu — comme beaucoup de personnes — pour en équiper les machines de la rédaction.

Voyons maintenant ce que ça donne dans les tests pratiques

Tests pratiques : temps de chargements des jeux

Les résultats sont synthétisés dans le tableau suivant :

Jeu HDD (s) SSD Kingston (s) Gain (%)
S.T.A.L.K.E.R. : Call of Pripyat 12,6 10,4 17, 9

Les chargements sont, au final, plus rapides de presque 20 % que sur un HDD, et cela se ressent un peu dans le jeu. On rappelle que ces gains sont variables suivant le titre concerné, car il ne faut pas oublier que lors du chargement, les données viennent certes de l'espace de stockage, mais il faut aussi les traiter : le CPU et le GPU ainsi que la RAM sont aussi mis à contribution, et certaines opérations sont donc incompressibles en terme de temps d’exécution, peu importe les débits.

Dans ce test, le m500 de Crucial ne fait mieux que d'un cheveu, trop faible pour ne pas mettre cela sur une imprécision de mesure. Du coup, comme souvent, les gros deltas de performances théoriques sont nettement réduits quand on passe aux performances pratiques. On va voir si cela se confirme avec PC Mark 7.

Tests pratiques : PC Mark 7

Les résultats sont synthétisés dans le tableau suivant :

configuration System storage score Entertainement score PC Mark 7 Score
Crucial M500 / Gigabyte Z68 / SATA 3 Gigabyte 5029 4827 5240
Crucial M500 / Gigabyte Z68 / SATA 3 intel 5173 4849 5329
Kingston Hyper X 3K / Gigabyte Z68 / SATA 3 Gigabyte 5112 4748 5162
Kingston Hyper X 3K / Gigabyte Z68 / SATA 3 intel 5081 4766 5176

Le test PC Mark 7 est intéressant. Il confirme que le contrôleur intel permet d'obtenir de meilleurs résultats sur le contrôleur Gigabyte, mais les différences sont bien moindres ici qu'avec AS SSD benchmark. Ici, on observe seulement quelques % d'écart, trop peu pour être réellement ressenti. Concernant le Kingston, celui-ci est un petit chouilla en retrait du m500, mais c'est bien moindre que ce que le benchmark AS SSD laissait craindre.

Toolbox

Quand on va faire un tour sur le site du constructeur, on découvre qu'il propose une petite boite à outil pour gérer son SSD. Simplement dénommée Toolbox V2, ce logiciel permet notamment de connaitre l'état de santé du SSD et de flasher le firmware, le tout avec une interface simpliste mais fonctionnelle.


Kingston Toolbox V2

On voit aussi rapidement les informations pertinentes, comme le nombre d'heures de fonctionnement ou la somme des données transférées vers le disque. Nous n'avons pas pu tester la fonctionnalité de flashage du firmware, aucune nouvelle version n'étant disponible d'après l'outil.

A l'usage

Après plusieurs semaines de tests du Kingston Hyper X 3K, il est temps de faire le bilan de l'engin. Sa capacité de près de 240 Go lui permet d'accueillir vraiment tout ce qui peut tirer profit des performances d'un SSD : l'OS, les programmes et plusieurs jeux.

Les performances pratiques, on l'a vu, sont pas mal du tout, même si en purement théorique c'est moins bon. A noter qu'il faut en revanche disposer d'une plateforme récente, dotée de contrôleur SATA 3 adéquat, pour espérer en tirer toute la quintessence. Les chiffres annoncés par le constructeur sont assez réalistes, ce qui n'est pas toujours le cas dans la course aux armements qui a lieu sur le secteur des SSD.

Au jour le jour, le SSD est agréable à utiliser, la machine est bien réactive, aucun problème à signaler de ce côté là, et l'outil Toolbox permet de savoir en un coup d’œil l'état de l'Hyper X.

Conclusion

Avec cet HyperX 3K, Kingston propose un SSD homogène qui ne souffre pas de grosse lacune. Même si les performances dans les benchmarks synthétiques ne sont pas les plus élevés qui soient, en conditions réelles, il sera difficile d'être déçu par ce SSD. Son bundle complet permet une installation facile et rapide. Un autre point qui est plus difficilement mesurable mais qui est à mettre au crédit de ce SSD est sa durée de vie, grâce à ses cellules certifiées pour 3000 cycles. Si ce critère est important pour vous, alors le 3K est tout indiqué.


par Xpierrot Commenter
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    Prix : 166,99 Euros chez notre partenaire materiel.net

Fiche technique


  • Contrôleur : Contrôleur de deuxième génération SandForce SF-2281
  • Composants : Intel 25 nm Compute-Quality MLC NAND (3 000 cycles d'écriture/effacement)
  • Capacités disponibles : 120 Go, 240 Go, 480 Go
  • Débits de lecture séquentielle 555 Mo/s
  • Débits d'écriture séquentielle : 510 Mo/s
  • Lecture/écriture continue aléatoire 4k : 40 000/57 000 IOPS
  • Lecture/écriture maximum aléatoire 4k : 86 000/60 000 IOPS
  • Format : 2,5"
  • Dimensions : 69,85 x 100 x 9,5 mm
  • Poids : 97 g
  • Temps moyen avant panne : 1 000 000 heures — 19 2To
  • Interface: SATA Rev 3.0 (6 Gbits/s), SATA Rev 2.0 (3 Gbits/s)
  • Garantie : 3 ans avec assistance technique gratuite
  • Consommation: 0,455 W Veille — 1,6 W Lecture — 2,05 W Écriture

Un peu de technique

Il y a de nombreux acronymes qui gravitent autour du terme SSD. Que ce soit SATA, AHCI, mais aussi IDE et un faux ami, TRIM. Pour partir du bon pied, voyons un peu ce que ces différents termes veulent dire, afin de lever toute confusion.
  • ATA : Advanced Technology Attachment. Cette technologie est en fait apparue en 1986, inventée par Western Digital pour gérer les disques durs sous le nom d'IDE (Integrated Drive Electronics), avant d'être normalisée sous le nom ATA. Pas moins de 9 révisions de cette norme se sont succédé, numérotées de ATA 0 (IDE) à ATA 8 (à peine implémentée). Les plus notables sont l'ATA 3, qui a introduit les fonctionnalités SMART de diagnostic de disque dur, l'ATA 5, qui a permis d'obtenir des débits théoriques de 66 Mo/s grâce à des câbles de 80 broches, et bien sûr l'ATA 7, qui a introduit sa remplaçante, le SATA. L'ATA utilisant un bus parallèle, contrairement au SATA, qui utilise un bus série, elle a été renommée en PATA pour éviter les mélanges.
  • SATA : Serial Advanced Technology Attachment. Cette norme, apparue en 2003 pour permettre des débits plus importants que la norme PATA, via l'utilisation d'un bus de données série, est maintenant ultra répandue. Cette norme spécifie 2 choses :
    • La forme des connecteurs d'alimentation, ainsi que leur brochage. Exemple : le 12 V est distribué sur les broches n° 13, 14 et 15.
    • La forme des connecteurs de données, ainsi que leur brochage. Les broches 2 et 3 sont utilisées pour l’émission de données depuis le disque, tandis que les broches
      5 et 6 sont utilisées pour la réception de données depuis la carte mère.
    IDE Vs AHCI
  • AHCI : Advanced Host Controller Interface. Cela concerne les contrôleurs SATA, placés sur les cartes mères ou intégrés aux chipsets, qui fonctionnent soit en mode "IDE", pour être compatible, soit dans ce nouveau mode plus moderne, seul moyen d'obtenir les performances présentées sur les fiches techniques des constructeurs de SSD. Ce mode, à paramétrer dans le BIOS de la carte mère, permet en fait d'utiliser des fonctionnalités avancées du SATA, comme notamment le NCQ et le TRIM. Il faut aussi des drivers et un OS adapté. Windows 7 gère ça très bien, tout comme les autres systèmes récents.
  • NCQ : Native Command Queue. Plutôt que de laisser le système d'exploitation décider dans quel ordre le HDD/SSD doit faire ses opérations, c'est le périphérique lui-même qui décide de l'ordre dans laquelle la file de commande (Command Queue) va être exécutée. Cela a notamment un impact très positif quand les demandes d'accès en parallèle sont nombreuses
  • TRIM : ce n'est pas un acronyme, mais le nom de la commande qui permet d'indiquer à un SSD quels sont les blocs à effacer. Cela permet un maintien des performances pour toute la durée de vie de ce type de support de stockage. Il faut que l'AHCI soit activé, mais qu'en plus le firmware du SSD le supporte, ce qui est maintenant quasiment toujours le cas. Il y a cependant des situations particulières, notamment lors de l'utilisation en RAID où cette commande n'est parfois pas gérée